18 octobre 2011

AINDA A BÉLGICA...

FAçO MINHAS AS REFLEXÕES DO INTERNAUTA "PERCEVAL" DO DÁRIO "LE SOIR" DE BRUXELAS (Tradução debaixo do texto)

Même si une poignée d'enragés (nous en avons besoin, la santé de la démocratie en dépend !) n'est pas capable de lire plus loin que le bout de leur nez et continuera de répondre par des moqueries et des insinuations infondées, il reste et restera que certaines évidences méritent d'être répétées. Mme Delvaux ne fait rien de plus que de souligner, dans cet éditorial, le rôle "d'ogre des contes de fées" qu'ont endossé les Flamands. Peut-être même consciemment. Je déteste leur ultra-libéralisme, mais j'admire leur combativité. Je hais leur nationalisme primaire, mais je respecte leur volonté de préserver une culture ultra-minoritaire à l'aune de la mondialisation. Tout comme je hais l'apathie francophone, tout en aimant son sens de la solidarité. Et comme je rejette cette prétention d'une culture française, jamais menacée, incapable de comprendre que des cultures plus exposées au risque de la globalisation puissent lutter pour leur avenir.

ISTO É: DETESTO O ULTRA-LIBERALISMO MAS ADMIRO A COMBATIVIDADE. ÓDEIO O NACIONALISMO PRIMÁRIO MAS RESPEITO A VONTADE DE PERSEVERAR UMA CULTURA ULTRA-MINORITÁRIA NO SEIO DA MUNDIALISAçÃO. COMO ODEIO A APATIA FRANCÓFONA AO MESMO TEMPO QUE TEM O SENTIDO DA SOLIDARIEDADE. COMO REJEITO A PRETENSÃO DE UMA CULTURA FRANCESA,NUNCA AMEAçADA, INCAPAZ DE COMPREENDER QUE CULTURAS MAIS EXPOSTAS AO RISCO DA GLOBALISAçÃO POSSAM LUTAR PELO SEU FUTURO.

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