c'est curieux, dans l'attaque aux dernières villes ou localités restées aux mains du pouvoir de Kadhafi, l'OTAN continue à bombarder, aidant les rebelles mais, cette fois-ci contre les civils qui habitent ces endroits, c'est compréhensible mais alors qu'on change le langage hypocrite utilisé jusque maintenant... ah, le pétrole!
Maintenant, c'est la Guinée-Bissau, la patrie d'Amílcar Cabral et de beaucoup de Portugais qui est prête à recevoir Kadhafi qui a beaucoup aidé ce pays, un des plus pauvres du monde.
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